Le billet vert. La pollution : facteur aggravant du coronavirus ?

Carte créée par la Nasa à partir des données du satellite Sentinel-5 de l’ESA montrant les concentrations en dioxyde d’azote en Chine, en janvier et février 2020. (ESA / NASA)
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Des chercheurs et scientifiques travaillent actuellement sur une relation possible entre la pollution, notamment aux particules fines, et la propagation du Covid-19.  

Une hypothèse plus que plausible ?  

Il semblerait que les particules fines pourraient, dans certaines conditions, transporter le virus. Éric Poincelet est président de Pollutrack, un réseau exceptionnel de capteurs installés à Paris, qui mesurent la pollution en temps réel.

On est aujourd’hui avec un virus qui est vraiment petit, donc qui est susceptible, effectivement, de suivre la pollution, et de pouvoir pénétrer à l’intérieur de l’organisme, en se servant comme cheval de Troie, des particules fines de la pollution.

Éric Poincelet, président de Pollutrak

à franceinfo

48.000 décès par an en France dus à la pollution aux particules fines

Il faut dire qu’à elle seule, la pollution, notamment aux particules fines, provoque le décès prématuré de 48.000 personnes en France, par an. C’est plus que l’alcool, moins que le tabac, on en parle moins que la pandémie en cours, mais il semblerait qu’il y ait un lien entre les deux selon Éric Poincelet.  

Wuhan, le premier foyer du coronavirus a été une ville qui a connu des niveaux de pollution aux particules…

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