Le 17 avril, au retour d’un reportage à Wuhan, berceau de la pandémie due au coronavirus, le photographe Gilles Sabrié, installé en Chine, a été mis à l’isolement dans une chambre d’hôtel à Pékin. Quatorze jours d’une curieuse monotonie.
Le 17 avril, au retour d’un reportage à Wuhan, berceau de la pandémie due au coronavirus, le photographe Gilles Sabrié, installé en Chine, a été mis à l’isolement dans une chambre d’hôtel à Pékin. Quatorze jours d’une curieuse monotonie.