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Célébration de l’Année de solidarité et d’amitié Vietnam-Laos, Laos-Vietnam 2017

Hanoi (VNA) – Le vice-ministre permanent des Affaires étrangères Bui Thanh Son s’est rendu le 14 juillet à l’ambassade du Laos au Vietnam à Hanoi pour une célébration conjointe de l’Année de solidarité et d’amitié Vietnam-Laos, Laos-Vietnam 2017

Lors de la rencontre avec l’ambassadeur ​du Laos au Vietnam, Thongsavanh Phomvihane, le vice-ministre permanent Bui Thanh Son a souligné l’importance particulière ​de l’Année de solidarité et d’amitié Vietnam-Laos, Laos-Vietnam 2017, avec les célébrations des 55 ans des relations diplomatiques (2 septembre 1962) et des 40 ans du Traité d’amitié et de coopération (18 juillet 1977) entre les deux pays.

Il a passé en revue les principaux jalons dans les relations traditionnelles entre le Vietnam et le Laos, soulignant l’importance du Traité d’amitié et de coopération bilatérale qui sert de fondement au développement des relations dans nouvelle période entre les deux Partis et les deux Etats.

Bui Thanh Son a salué le développement vigoureux des relations traditionnelles, la solidarité spéciale et la coopération intégrale entre les deux pays dans tous les domaines, affirmant que les activités de célébration conjointes de ces événements spéciaux contribueront à sensibiliser les populations des deux pays, notamment les jeunes générations, aux relations spéciales Vietnam-Laos.

De son côté, l’ambassadeur du Laos au Vietnam, Thongsavanh Phomvihane, a confirmé la volonté de son pays d’œuvrer à la consolidation et au renforcement des relations spéciales avec le Vietnam.

Le 14 juillet au Laos, en l’honneur de l’Année de solidarité et d’amitié Vietnam-Laos, Laos-Vietnam 2017, le ministère laotien de la Défense et l’Académie de la défense Kaysone Phomvihane ont organisé une rencontre entre les anciens étudiants de Vientiane qui avaient fait des études militaires au Vietnam. -VNA

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Actu Birmanie Thaïlande

Thaïlandais et Birmans, main dans la main pour lutter contre le trafic de drogue en Asie

La Thaïlande et la Birmanie ont longtemps été les principales plaques tournantes du trafic d’opium et de d’héroïne.

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Viêtnam

Les investisseurs vietnamiens sont un grand acteur de l’économie cambodgienne

 

Hanoï (VNA) – Les entreprises vietnamiennes contribuent grandement à la croissance économique du Cambodge, selon le ministre délégué auprès du Premier ministre et secrétaire général du Conseil pour le Développement du Cambodge (CDC), Sok Chenda Sophea.

Lors d’une interview avec la VNA en l’honneur du cinquantenaire de l’établissement des relations vietnamo-cambodgiennes (24 juin), le ministre cambodgien a insisté sur les réalisations des opérateurs vietnamiens dans les télécommunications. Le réseau Viettel du groupe de télécommunications de l’Armée vietnamienne est en effet très populaire au Cambodge et entraîne des changements positifs dans la vie des Cambodgiens. Pour les projets vietnamiens de culture d’hévéa, Sok Chenda Sophea a apprécié les efforts des investisseurs vietnamiens dans la construction d’infrastructures durables, ainsi que leurs activités sociales pour améliorer les services liés à la santé et à l’éducation dans les localités d’accueil. Dans le tourisme, bien que peu de sociétés vietnamiennes investissent dans l’hôtellerie au Cambodge, les touristes vietnamiens sont très nombreux et ont des contributions importantes à la croissance économique du Royaume.

« Le Cambodge favorise toujours les activités des investisseurs étrangers », a affirmé Sok Chenda Sophea, ajoutant que son pays élabore actuellement une nouvelle loi sur l’investissement pour améliorer son environnement de l’investissement. « Le Cambodge héberge aussi des zones économiques spéciales et Phnom Penh cherche des mesures pour que ces zones puissent attirer davantage d’investisseurs », a-t-il indiqué. -VNA

 

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Thaïlande

Ne laisser personne pour compte : 1,1 milliard de personnes sans titre d’identité

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Photo : Daniel Silva Yoshisato.

On estime que 1,1 milliard de personnes dans le monde ne peuvent pas prouver officiellement leur identité, selon l’édition 2017 de la série de données ID4D (Identification for Development) de la Banque mondiale (a).

Avoir un titre d’identité est capital

Comment justifier de son identité dans la vie quotidienne ? Imaginez que vous essayiez d’ouvrir votre premier compte bancaire, de faire valoir vos droits à l’assurance maladie ou de vous inscrire à l’université, mais que vous n’ayez pas de titre d’identité : vous constaterez que votre qualité de vie et vos opportunités seront extrêmement limitées… Avoir une pièce d’identité officielle est un élément capital : c’est le sésame pour accéder à de nombreux droits, mais aussi à des services essentiels (santé, éducation, finance…). Selon les toutes dernières estimations du Groupe de la Banque mondiale, ce problème touche environ 1,1 milliard de personnes à l’échelle planétaire. 

L’importance de cet obstacle fondamental a poussé la communauté internationale à l’inclure dans les Objectifs de développement durable des Nations Unies : « fournir une identité juridique à tous les citoyens d’ici 2030, notamment en enregistrant toutes les naissances » (cible 16.9). C’est aussi ce qui a incité le Groupe de la Banque mondiale à lancer son initiative ID4D (Identification for Development) en 2014.

En effet, pour progresser vers cet objectif ambitieux, encore faut-il que les États et leurs partenaires de développement puissent appréhender l’ampleur du défi. L’initiative du Groupe de la Banque mondiale vise précisément à fournir des données actualisées chaque année sur le nombre de personnes dépourvues de titre d’identité officiel dans 198 pays. Cette estimation repose à la fois sur des données publiques (taux d’enregistrement des naissances relevés par l’UNICEF) et sur les informations rapportées par les organismes chargés de l’état civil. Nous collectons en outre des informations qualitatives : la base de données renseigne par exemple sur les organismes et les ministères concernés ou sur l’existence de systèmes numériques (désormais introduits partiellement ou totalement dans 133 pays).

Qui sont ces 1,1 milliard de personnes ?

Les données les plus récentes permettent de répondre à cette question avec plus de précision :

  • 78 % vivent en Afrique subsaharienne et en Asie, ce qui montre que l’essentiel des efforts doivent porter sur ces régions du monde ;
  • 40 % sont des enfants âgés de moins de 18 ans et une sur six a moins de cinq ans, ce qui souligne l’importance du premier des dix principes généraux sur l’identification (a) qui prescrit une couverture universelle de la naissance au décès ;
  • Plus de la moitié vivent dans des pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure, et un tiers dans des pays à faible revenu.

Il faut également signaler que le niveau de développement d’un pays influence souvent le taux de possession d’un titre d’identité : on estime que 36 % de la population des pays à faible revenu est dépourvue de papiers d’identité officiels, contre 22 % pour les pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure et seulement 9 % pour ceux de la tranche supérieure.

Mais ce n’est pas tout. La majorité des pays publient uniquement des statistiques nationales générales pour la population adulte, ce qui limite notre capacité à orienter précisément les efforts des États et de leurs partenaires de développement. Par exemple, seuls 43 pays publient des données décomposées par sexe, ce qui est pourtant essentiel pour savoir si les femmes et les filles rencontrent davantage de difficultés pour l’obtention d’une pièce d’identité.

Enfin, il faut noter que le nombre de personnes sans papiers d’identité officiels tel qu’il ressort de la base de données est en baisse : il atteignait 1,5 milliard en 2016. Cela s’explique par les améliorations qui ont été apportées à la méthodologie, de meilleures sources de données pour 128 pays, et une augmentation particulièrement importante du nombre de personnes enregistrées en Inde grâce aux progrès rapides du système Aadhaar (pour plus d’informations, consultez l’onglet « Methodology & Sources » du fichier 2017 ID4D Global Dataset).

Et ensuite ? Améliorer la base de données ID4D
 
Le problème ne se résume pas à bien prendre toute la mesure du défi : il s’agit aussi de « ne laisser personne pour compte », conformément à l’engagement des ODD, et d’aider en priorité ceux qui en ont le plus besoin. Cela nécessite en premier lieu de savoir quelles personnes sont les moins susceptibles de posséder une pièce d’identité, et, dans l’idéal, pourquoi. Qui sont les personnes exclues ? S’agit-il du segment le plus pauvre de la population ? Des personnes vivant dans les zones rurales ? Dans quelles provinces ou régions habitent-elles ?

Par ailleurs, il faut accorder une attention toute particulière à la situation des populations déjà marginalisées et qui, parce qu’elles n’ont pas de titre d’identité, sont encore plus vulnérables : les personnes handicapées, les personnes âgées, les populations autochtones, et les enfants entre l’âge de 5 ans (pour lesquels il devient plus compliqué d’obtenir un certificat de naissance) et l’âge d’éligibilité à l’obtention d’une carte d’identité nationale (16 ou 18 ans dans bon nombre de pays). De plus, nous ne savons tout simplement pas combien de personnes détiennent des papiers parmi les plus de 200 millions de migrants, les 21,3 millions de réfugiés et les 10 millions d’apatrides.

Il y a trois mesures immédiates que les États et leurs partenaires de développement peuvent prendre pour résoudre ce manque criant de données désagrégées :

  1. Les organismes chargés de l’état civil et les instituts de statistique pourraient publier leurs données par sexe, par âge et par zone géographique. Le Pérou (es) et l’Inde (a) le font déjà, et d’autres pays comme la Thaïlande et le Nigéria fournissent ces données sur demande.
  2. Les recensements et les enquêtes menées auprès des ménages pourraient comporter des questions concernant la possession d’un titre d’identité, ce qui serait particulièrement utile dans le cas des populations marginalisées mentionnées précédemment.
  3. Pour appuyer ces efforts, la communauté statistique internationale devrait produire des normes, des définitions et des méthodologies, et envisager d’étendre l’indicateur actuel correspondant à la cible 16.9 des ODD pour aller au-delà du simple enregistrement des naissances avant l’âge de 5 ans.

Nous avons le plaisir d’annoncer que, avec le concours de la Fondation Bill et Melinda Gates, la base de données ID4D intègre désormais des informations provenant de l’édition 2017 de l’enquête Global Findex (qui couvre plus de 90 pays) et concernant le taux de possession d’une carte d’identité ainsi que les difficultés rencontrées pour obtenir celle-ci. À la fin de l’année, nous serons en mesure de publier des données représentatives à l’échelle nationale et comparables sur les taux de possession d’un titre d’identité, qu’il sera possible de désagréger de nombreuses manières. De plus, nous prévoyons de continuer à consolider notre base de données grâce à de nouveaux partenariats et des investissements supplémentaires de la part des partenaires intéressés, en mettant l’accent sur l’amélioration de la méthodologie et de la collecte des données.

En agissant pour mieux comptabiliser tous ceux et toutes celles que l’on ne voit pas, nous renforçons notre engagement à faire de l’identité juridique pour tous une réalité.

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Promotion des activités du Conseil du commerce et de l'investissement Vietnam-Etats-Unis

 

Washington (VNA) – Le ministre vietnamien de l’Industrie et du Commerce Tran Tuan Anh et le représentant américain au commerce, Robert Lighthizer, les deux coprésidents du Conseil du commerce et de l’investissement Vietnam-Etats-Unis ont eu une séance de travail le 30 mai à Washington D.C.

Le représentant américain au commerce Robert Lighthizer a tenu en haute estime l’organisation par le Vietnam de la récente 23e conférence des ministres du Commerce de l’APEC. Il a affirmé que le conseil était un mécanisme de dialogue important pour régler les questions économiques, de commerce et d’investissement entre les deux pays.

Le ministre Tran Tuan Anh a estimé les contributions de la représentation américaine au commerce à la présente visite du chef du gouvernement vietnamien aux Etats-Unis, tout en demandant à Robert Lighthizer de continuer de stimuler les relations de coopération économique, de commerce et d’investissement entre les deux pays.

Tran Tuan Anh et Robert Lighthizer ont discuté des mesures pour lever les barrières freinant les relations économiques et de commerce entre les deux pays.

Par procuration du Premier ministre, Tran Tuan Anh a précisé les points de vue du Vietnam et ses mesures de règlement des questions économiques, de commerce et d’investissement, comme la publication sur le réseau social, le paiement électronique, l’importation de produits agricoles.

Il a demandé aux Etats-Unis de reconnaître bientôt au Vietnam le statut de pleine économie de marché, de prendre des décisions égales relatives aux taxes anti-dumping et anti-subvention imposées aux produits importés du Vietnam, de mettre fin aux enquêtes sur les pangasius du Vietnam, et d’accélérer les proc​édures d’autorisation de l’importation des fruits vietnamiens.

Les deux coprésidents sont convenus de promouvoir les activités du Conseil du commerce et de l’investissement Vietnam-Etats-Unis pour régler les ​problèmes qui se posent et intensifier les relations économiques, de commerce et d’investissement entre les deux pays. -VNA

 

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Viêtnam

Ouverture du 5e Plénum du Comité central du Parti communiste du Vietnam (12e mandat)

Le 5 Plénum du Comité central du Parti communiste du Vietnam du 12 mandat a lieu du 5 au 11 mai. A l’ordre du jour, plusieurs questions importantes du pays. -VNA

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Les États-Unis maintiennent les droits antidumping sur les pangas vietnamiens

Hanoi, 31 mars (VNA) – Le Département du commerce des États-Unis (USDOC) a maintenu les droits anti-dumping sur les importations de poissons tra et basa vietnamiens à l’issue du 12e examen administratif (POR12) pour la période du premier août 2014 au 31 juillet 2015.
 
Dans une usine de transformation de poissons tra et basa au Vietnam. Photo: infornet.vn

Les filets de poissons tra et basa congelés importés du Vietnam durant la période entre le premier août 2014 au 31 juillet 2015 se sont vu imposer des droits antidumping compris entre 0,69 et 2,39 dollars par kilo.

L’USDOC a publié le 19 septembre 2016 les résultats préliminaires de son 12e examen administratif de l’ordonnance de droit antidumping sur certains filets de tra et basa congelés en provenance du Vietnam.

Entre le 19 octobre et 14 février 2017, les parties intéressées ont présenté des mémoires et contre-mémoires. Le 24 février, 2017, l’USDOC a tenu une audience publique consacrée aux questions soulevées dans les mémoires et contre-mémoires.

Sur la base notamment de l’examen du dossier et des commentaires reçus des parties intéressées concernant les résultats préliminaires, l’USDOC n’a pas changé des marges assignées dans les résultats préliminaires.

L’USDOC devra donner instruction au Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (CBP) relevant du Département de la Sécurité intérieure des États-Unis, d’évaluer les droits antidumping 15 jours après la publication des résultats définitifs de cet examen administratif.

Les États-Unis étaient en 2016 le plus grand consommateur de pangasius du Vietnam en important pour 366 millions de dollars, soit une progression de 16% en glissement annuel. – VNA

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Viêtnam

Le président Tran Dai Quang salue de nouveaux ambassadeurs

 

Le président Tran Dai Quang (droite) et l’ambassadeur tchèque, Vitezslav Grepl. Photo: VNA

 Le Vietnam salue de nouveaux ambassadeurs

Hanoï (VNA) – Le président Tran Dai Quang a reçu le 8 mars à Hanoï les ambassadeurs tchèque, argentin, mongol, sénégalais, du Myanmar et de Guinée équatoriale, venus lui présenter leurs lettres de créance.

Lors de la réception de l’ambassadeur tchèque, Vitezslav Grepl, le chef de l’État vietnamien a demandé de resserrer la coopération bilatérale dans l’économie, le commerce et l’investissement. Il a affirmé de créer des conditions optimales aux entreprises tchèques venues sonder le marché vietnamien, notamment dans l’énergie, les infrastructures, la protection de l’environnement et la formation.

Il ​a espéré le soutien de la République tchèque pour la signature de l’accord de libre-échange Vietnam-Union européenne et souhaité que le pays assistent aussi les résidents vietnamiens.

Vitezslav Grepl a souligné les potentiels de coopération entre les deux pays dans l’économie et le commerce, et estimé les contributions considérables de la diaspora vietnamienne établie dans son pays. ​

En recevant l’ambassadeur d’Argentine au Vietnam, Juan Carlos Valle Raleigh, le président Tran Dai Quang a apprécié les relations d’amitié et de coopération entre les deux pays. Les échanges commerciaux bilatéraux ont atteint 3,04 milliards de dollars en 2016, et l’Argentine est devenue le 2e plus grand partenaire commercial du Vietnam en Amérique latine.

Tran Dai Quang a proposé aux deux parties de renforcer les échanges de délégations de tous échelons, de maintenir de manière régulière et efficace les activités des mécanismes de coopération comme le Comité intergouvernemental et la consultation politique entre les deux ministères des Affaires étrangères. Il s’agira également de s’efforcer à porter le commerce bilatéral à 5 milliards de dollars en 2020, de s’entraider au sein des organisations internationales et forums multilatéraux, et de soutenir la candidature du Vietnam aux postes de membre non permanent du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU) pour le mandat 2020-2021 et de directeur général de l’UNESCO pour 2017-2021.

Selon l’ambassadeur Juan Carlos Valle Raleigh, l’Argentine souhaite intensifier la coopération avec le Vietnam sur le plan culturel et sportif.

Lors d’une rencontre avec l’ambassadeur de Mongolie au Vietnam, Bilegdorj Dash, le président Tran Dai Quang a salué l’organisation avec succès du 11e Sommet Asie-Europe (ASEM), ce qui a contribué à améliorer la position de la Mongolie sur la scène internationale.

Il a proposé aux deux parties de concrétiser la perception commune des dirigeants des deux pays​, d’étudier des mesures visant à exploiter les potentialités de coopération de chaque pays, de créer un climat d’échange favorable aux entreprises et aux deux peuples, et de collaborer au sein des forums internationaux.

Le président Tran Dai Quang et l’ambassadeur de Mongolie, Bilegdorj Dash. Photo: VNA

De son côté, Bilegdorj Dash a affirmé que la Mongolie souhaitait intensifier l’exportation de nombreuses marchandises vers le Vietnam, ainsi que bénéficier du soutien du Vietnam pour qu’elle puisse devenir membre de l’APEC.

​Lors d’une rencontre avec l’ambassadeur du Myanmar, Kyaw Soe Win, le president Tran Dai Quang a souligné que le Vietnam prenait en considération et appréciait hautement les relations d’amitié traditionnelle et de coopération multiforme avec le Myanmar.

Le président Tran Dai Quang et l’ambassadeur du Myanmar, Kyaw Soe Win. Photo: VNA

Il a applaudi l’autorisation du gouvernement birman sur la création d’une coentreprise entre le groupe de télécommunications de l’Armée du Vietnam (Viettel) et son partenaire birman ​: Mytel, laquelle fournira des services e télécommunications sur son territoire. Il a demandé au Myanmar de continuer de favoriser les activités des entreprises vietnamiennes dans la banque, l’aviation, les télécommunications… Le Vietnam est prêt à partager ses expériences avec le Myanmar dans ses domaines potentiels.

De son côté, l’ambassadeur birman Kyaw Soe Win a promis de faire tout son possible pour approfondir la coopération bilatérale.

Rencontrant l’ambassadeur sénégalais Cheikh Niang, le président Tran Dai Quang a demandé au Sénégal de soutenir la candidature du Vietnam au poste de directeur général de l’UNESCO pour le mandat 2017-2021 et de membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU (mandat 2020-2021).

Il a invité les deux pays à promouvoir la coopération économique pour qu’elle soit à la hauteur des bons liens politiques, en continuant d’intensifier la coopération dans l’agriculture, le commerce, l’investissement, les télécommunications…

Pour sa part, l’ambassadeur Cheikh Niang s’est engagé à promouvoir les relations de coopération entre son pays et le Vietnam afin de faire de ce dernier un partenaire important du Sénégal en Asie.

Lors de sa rencontre avec l’ambassadeur de la Guinée équatoriale, German Ekua Sima, le chef de l’État vietnamien a souligné que le Vietnam attachait de l’importance au développement de la coopération avec les pays africains dont la Guinée équatoriale, avant de demander aux deux pays d’encourager leurs entreprises à se renseigner sur leur marché et les opportunités d’affaires.

De son côté, l’ambassadeur German Ekua Sima a émis le souhait que le Vietnam soutienne la candidature de son pays au poste de membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU (mandat 2018-2019). -VNA

 

 

 

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